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Florilège de contre-vérités, de bêtises,
de propos haineux ou racistes.

[ de 1925 à 1957... Une langue à supprimer ]

" Pour l'unité de la langue française, la langue bretonne doit disparaître. "

Anatole de Monzie,
ministre de l'Instruction publique,
1925.


" A l'état brut, l'esprit n'est point celui de cet homme théorique sorti des rêves de Rousseau, mais celui du Barbare que nos hardis explorateurs rencontrent dans la brousse et parfois celui de quelque rare campagnard attardé de Basse-Bretagne. C'est le sauvageon qui poussa où tomba la graine et qui ne porta jamais de fruit savoureux. "

Institut Pelman,
" Education scientifique de l'esprit et culture de la mémoire ",
1927.


" La seule réponse à faire aux revendications linguistiques bretonnes, c'est d'emprisonner tous ceux qui les formulent. "

Albert Dalimier,
ministre du Travail, et de la Prévoyance sociale,
futur ministre de la Justice,
11 septembre 1932.


" Le Breton a partout le même caractère : très opiniâtre, très attaché à ses vieilles coutumes et à sa foi catholique et fort superstitieux, il est peu porté vers l'instruction et l'industrie. "

Larousse du XXe siècle,
1939.


" Ces Bretons travaillant beaucoup avaient une grande faim que leurs patrons ravis s'évertuaient à calmer à coups de pains de trois livres et qu'eux mêmes apaisaient par d'étranges soupes d'os, de betteraves et de simples, dont Emile lui-même prétendait que le fumet lui coupait l'appétit."

Jacques Perret,
" Le caporal épinglé ",
1947.


" Des malins y avaient installé de la paille. Notamment un Breton, un petit tordu au regard bleu. Ses yeux flottaient dans l'azur et le vin. Où trouvait-il assez de picrate pour se saouler ? Toute la journée il dansait sur la scène comme les nègres au son du tam-tam. "

Paul Guth,
" Le naïf sous les drapeaux ",
1957.



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